Ca commence, debut de semaine, par 3 journees a scruter la meteo, les conditions en haute montagne, les potes qui seraient partant pour une viree dans les faces... J'essaie de trouver, je reflechi... et puis, chaque matin, une seule certitude: il y'a quelque chose qui me retiens... Mercredi arrive, je comprend... je comprend que j'en ai marre du froid et de cet hiver, j'ai besoin de soleil, de chaleur. Du coup, apres avoir motives mes potes, c'est moi qui fait marche arriere... je n'aime pas ca... mais la motivation, celle qui fait que l'on "s'engage" - n'est pas la...
Le soleil, la chaleur, le calme... un bar dans le midi, comme je les aime.. du bon vin... au pied des falaises... merci Kelli....
Au fil et a mesure des weekends, j'empile des photos et des souvenirs... tres souvent en montagne pour du ski, de l'escalade ou de l'alpinisme. Alors, profitez de ce site pour decouvrir une selection de photos du dernier weekend ou tout simplement des commentaires perso.
mardi, avril 20, 2010
mardi, avril 13, 2010
lundi, avril 12, 2010
Soleil, mon ami...
Dimanche de printemps - Il fait chaud, bon vivre...
Les cuisses se reposent :-)
Les cuisses se reposent :-)
Jardinage, Barbecue & Grimpe...
Comme beaucoup - on a assez eu froid cet hiver. Cette neige qui n'arrête plus de tomber...
Courage!
Comme beaucoup - on a assez eu froid cet hiver. Cette neige qui n'arrête plus de tomber...
Courage!
Chronique d’un sabordage à Montagnes Magazine
Une nouvelle qui touche un pote proche. Une nouvelle qui touche le milieu de la montagne... n'oublions pas que nos activites ne tiennent que grace a un eco-systeme economique, qui ne roule pas sur l'Or. (A part peut etre les fabricants de chaussures de ski de rando !!!!!! foutage de gueule sur les prix - hors sujet)
La presse fait partie de cet eco systeme, la soutenir dans son combat - c un peu comme mettre son Arva.
Ol.
La presse fait partie de cet eco systeme, la soutenir dans son combat - c un peu comme mettre son Arva.
Ol.
Chronique d’un sabordage à Montagnes Magazine
Depuis plusieurs années, la rédaction de Montagnes Magazine fait tout son possible pour préserver la qualité de ce titre de référence dans la presse montagne, tandis que les dirigeants de la société Nivéales ne cessent de limiter ses moyens.
La dégradation des conditions de travail, les retards de payement de nombreux collaborateurs, et la multiplication des ardoises sont devenus d’autant plus injustes et incompréhensibles que notre titre a su garder la confiance de ses lecteurs et des ventes pérennes dans l’univers très dégradé de la presse. Notre magazine réalise les meilleures ventes en kiosques des éditions Nivéales, dont il reste de loin le titre le plus rentable. Sa contribution (recettes moins les charges) moyenne annuelle à la prospérité de l’entreprise représente plus de deux fois la masse salariale de la rédaction et quatre fois le meilleur bénéfice annuel de la société ces cinq dernières années.
Traversant des difficultés financières sérieuses suite à des investissements hasardeux dans des opérations de prestige se traduisant en fiasco, les dirigeants de la société Nivéales, Jean-Pierre Roger et Pascal Maltherre, ont décidé d’en demander encore un peu plus à la « vache à lait », quitte à la faire mourir. C’est ainsi que notre rédacteur en chef se voit convoqué pour un licenciement à « motif économique », sans remplacement, et que notre secrétaire de rédaction se voit sommer d’accepter 63% de travail en plus !
Cette réorganisation brutale réalisée sans le moindre dialogue social va porter atteinte à la qualité éditoriale de notre magazine et traduit un profond mépris de nos lecteurs et du métier de journaliste. Elle s’inscrit dans une logique d’élimination des représentants du personnel. Parmi les quatre rédacteurs en chef que l'on projette de licencier, deux sont des élus du comité d’entreprise. Ils sont aussi les animateurs des titres les plus rentables de la société…
La rédaction ne peut plus rester silencieuse face à ce sabordage de Montagnes Magazine, car nous pensons qu’il n’y a pas d’avenir pour la presse sans un journalisme de qualité.
À Grenoble, le 8 avril 2010.
La rédaction de Montagnes Magazine
Philippe Descamps, Brigitte Luttiau, Olivier Moret, Manu Rivaud, Leïla Shahshahani.
Depuis plusieurs années, la rédaction de Montagnes Magazine fait tout son possible pour préserver la qualité de ce titre de référence dans la presse montagne, tandis que les dirigeants de la société Nivéales ne cessent de limiter ses moyens.
La dégradation des conditions de travail, les retards de payement de nombreux collaborateurs, et la multiplication des ardoises sont devenus d’autant plus injustes et incompréhensibles que notre titre a su garder la confiance de ses lecteurs et des ventes pérennes dans l’univers très dégradé de la presse. Notre magazine réalise les meilleures ventes en kiosques des éditions Nivéales, dont il reste de loin le titre le plus rentable. Sa contribution (recettes moins les charges) moyenne annuelle à la prospérité de l’entreprise représente plus de deux fois la masse salariale de la rédaction et quatre fois le meilleur bénéfice annuel de la société ces cinq dernières années.
Traversant des difficultés financières sérieuses suite à des investissements hasardeux dans des opérations de prestige se traduisant en fiasco, les dirigeants de la société Nivéales, Jean-Pierre Roger et Pascal Maltherre, ont décidé d’en demander encore un peu plus à la « vache à lait », quitte à la faire mourir. C’est ainsi que notre rédacteur en chef se voit convoqué pour un licenciement à « motif économique », sans remplacement, et que notre secrétaire de rédaction se voit sommer d’accepter 63% de travail en plus !
Cette réorganisation brutale réalisée sans le moindre dialogue social va porter atteinte à la qualité éditoriale de notre magazine et traduit un profond mépris de nos lecteurs et du métier de journaliste. Elle s’inscrit dans une logique d’élimination des représentants du personnel. Parmi les quatre rédacteurs en chef que l'on projette de licencier, deux sont des élus du comité d’entreprise. Ils sont aussi les animateurs des titres les plus rentables de la société…
La rédaction ne peut plus rester silencieuse face à ce sabordage de Montagnes Magazine, car nous pensons qu’il n’y a pas d’avenir pour la presse sans un journalisme de qualité.
À Grenoble, le 8 avril 2010.
La rédaction de Montagnes Magazine
Philippe Descamps, Brigitte Luttiau, Olivier Moret, Manu Rivaud, Leïla Shahshahani.
Fin de saison 2010
1000m de couloir, pour finir la saison - Burlan, de haut en bas, skis sur le dos a la montée, gros plaisir a la descente - pas une trace... la classe. Merci Bertrand pour avoir partagé cette super journée de montagne.
Burlan, c'est peut être mon couloir préféré, avec le glacier du capucin a Cham, rien de très engage, une ligne pure de bas en haut, 700m entre 40 et 45deg puis les derniers 300m entre 45 et 50deg. L'approche dans le vallon de la selle est assez longue - mais la ligne est magique.
On a porte les skis sur les 1000m de deniv du couloir. Et l'anecdote du jour dans tous ca ?!
Et bien, je suis une bonne feignasse (ca c vrai)... donc des que je peux éviter un mouvement j'en profite. déjà 500m de deniv dans le couloir, pause grignotage, je pose mes bâtons sur la neige un peu dure... 3 min après, je reprend mon sac, les skis tapent mes batons, qui partent en luge. Le premier s'arrête au bout de 30m.. le deuxième disparaît... et s'arrête, un peu par chance, 150m plus bas. La morale de l'histoire, au lieu d'avoir plante ces bâtons correctement dans la pente (le mouve que j'ai soigneusement évité de faire par faignantisme).. j'ai étais quitte pour 150m de couloir de plus = gros blaire. Bon, maintenant, on attaque les photos qui font du bien :-)
Bises, restons prudent et surtout, du plaisir!
On a porte les skis sur les 1000m de deniv du couloir. Et l'anecdote du jour dans tous ca ?!
Et bien, je suis une bonne feignasse (ca c vrai)... donc des que je peux éviter un mouvement j'en profite. déjà 500m de deniv dans le couloir, pause grignotage, je pose mes bâtons sur la neige un peu dure... 3 min après, je reprend mon sac, les skis tapent mes batons, qui partent en luge. Le premier s'arrête au bout de 30m.. le deuxième disparaît... et s'arrête, un peu par chance, 150m plus bas. La morale de l'histoire, au lieu d'avoir plante ces bâtons correctement dans la pente (le mouve que j'ai soigneusement évité de faire par faignantisme).. j'ai étais quitte pour 150m de couloir de plus = gros blaire. Bon, maintenant, on attaque les photos qui font du bien :-)
Bises, restons prudent et surtout, du plaisir!
mercredi, avril 07, 2010
mardi, avril 06, 2010
Retour de flamme
Dimanche soir - le ciel s'embrase... Belledonne prend des couleurs... Ça sent bon la belle neige...
Oui, mais voila, l'envie du moment - c'était de remettre les chaussons, tomber le Tshirt.
Lundi matin, ça vente grave... je suis surpris, la météo n'avait pas annonce ce vent du nord - du moins, avec cette violence.. Les sommets fument... On maintient notre décision - grimpe au soleil-et quand il vente, le plus sympa reste Orpierre.
Quel plaisir de retrouver le rocher - ca me manquait --- j'adore toujours la sensation de la roche dans les mains - très sensuel... On se sent bien.
Orpierre reste Orpierre - c'est beau, simple et sympa.
La nouveauté cette année ?De nouvelles voies sont apparues sur la face Quiquillon sud-est ... j'ai teste pour vous, dément!
Le rocher qui craque encore sous les mains, c'est tout neuf... Je n'ai pas les infos sur les cotations - si jamais, je suis preneur. (Ce n'est pas dans le topo de 2009).
Aussi un gros nettoyage au dessus du Ramier, donc encore des blocs instables a la base, mais la grimpe est encore plus saine (comme dans fleur de lotus). Merci Merci a toutes ces personnes qui font vivre ce très beau site. Du coup, j'ai acheté le topo 2009 :-).
Profitez bien!
dimanche, avril 04, 2010
Brunch "a la grenobloise"
Tiens, la météo annonce une jolie tempête ce samedi... quoi de plus normal que d'aller en montagne (on me l'a assez dit, un caractère de bélier...ça n'a pas que des avantages). Nous voici donc au pied de la goulotte des escombaille... prêt a en débattre -- pendant que la tempête commence a montrer les dents... ça vole un peu - du spin drift -- rien de bien méchant... c'était sans compter que dans la face, on ne se rend pas bien compte que le vent viens de monter d'un cran... les remontées de la station de chamrousse viennent de fermer... ça vente grave... un grand rappel... on retombe sur les skis... les ququ randonneurs qui sont en montagne font tous la course, vers.. la maison! on se fait littéralement coucher par le vent - la remontée vers casserousse laisse pantois.. des bourrasques impressionantes - la tempête fait rage, tout vole. Je n'ai pas de photo, dommage mais vous comprendrais que ce n'étais pas la priorité.. Eh oui, la prio, c'était de rejoindre l'équipe du camp de base qui, pendant que nous batifolions, préparait les huîtres, chablis, fromtoms et autres victuailles -- retour en bas a 13h30 pour retrouver ces supers amis. Merci, merci --- ça fait chaud au coeur, après ce froid tout en haut ;-)
Et cette goulotte ? On a fait la longueur technique -- on reviendra pour terminer tout cela..sous le soleil... en meme temps, on est juste a 20min de la maison :-)...
La longueur avec le passage surplombant est vraiment ludique, en bonne conditions en ce moment (glace). Ça se protège dans le rocher assez bien, donc je vous conseille un vrai jeu de friends (max #2) - ils vous serviront. Je ne dirais pas une goulotte d'initiation, a cause de cette longueur, sinon le reste doit passer bien plus facilement.
vendredi, avril 02, 2010
Quelques virages de plus...
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